Exit les menus light, oust la balance, place à LA gourmandise régressive à souhait. Si je pouvais écrire un soupir … je le ferais.
Un extra, certes difficile à assumer mais complètement craquant.
Je lorgnais les recettes depuis longtemps, et j’ai bidouillé toutes mes trouvailles pour ce résultat :
Le sablé classique :
- 100 g de beurre demi-sel
- 150 g de farine à levure incorporée
- 50 g de sucre
-
1 sachet de sucre vanillé
Faire chauffer le four à 180°
Faire ramollir le beurre 1 minute au micro-ondes – à faible puissance.
Tamiser la farine.
Dans le bol du robot, déposer le beurre et les sucres et battre jusqu’à obtenir une crème pâle. Ajouter la farine et battre encore : on obtient une pâte sableuse.
Étaler cette pâte directement dans un moule carré et peu profond (style plaque à pâtisserie) Comme elle est très friable, on tasse avec une spatule ou une cuillère. Piquer à la fourchette. Pré-découper les morceaux avec une roulette à pizza (ou une bicyclette peut être) pour pouvoir couper plus facilement les biscuits. Enfourner pour 20 à 25 minutes. Surveiller que le biscuit ne dore pas.
Sortir du four et réserver.
Pour le caramel :
- une boîte de lait concentré sucré
- 120g de sucre
- 120 g de beurre
- 2 c. à soupe de sirop d’érable (à défaut de golden syrup)
Verser le lait et le sirop d’érable dans une casserole. Mélanger. Ajouter le sucre et le beurre. Mettre à chauffer. Le mélange fond. Laisser bouillir 5 à 10 minutes en remuant sans arrêt. On arrête la cuisson, lorsque la préparation est un peu épaisse et commence à prendre une jolie couleur ambrée.
Verser sur le biscuit en couche régulière. Elle prend rapidement. Laisser refroidir.
La couche finale :
Faite fondre 150 de couverture noire au bain marie. J’ai suivi à la lettre les conseils de tempérage de Mercotte pour une couche fine et brillante. Napper le toffee. Lisser avec une spatule. Dessiner des stries en diagonale avec une fourchette. Dans la précipitation, j’ai manqué cette étape mais je peux dire que cela n’a pas nuit à leur succès.
On obtient une bonne vingtaine de biscuits, puis il en reste, 18, 15, 11, 9, 8,7,6,5,4,3 2 et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, tout a disparu. Je n’y ai rien vu.
Laisser prendre et refroidir. Une heure après, on peut pré-découper le chocolat qui durcit juste au dessus des entailles faites dans le biscuit.
Oublier une douzaine d’heures. Étape réservée au plus courageux. Les autres, les goinfres, se précipiteront sur un biscuit tiède…
Au moment de les servir, reprendre la roulette et couper les parts dans les traces préparées.
Se mange à toute heure, mais je trouve qu’avec le café, c’est sublime.
Encore un p’tit ???
Et dire que je les ai goûté. Un pur merveille qu’il faut vraiment que je teste en 2009 ! Tiens j’ai trouvé une résolution
Miam, une pâte sablée, du caramel et du chocolat, tout pour me plaire! Bonne journée et merci pour ton passage sr mon blog.
huuuuuuuuuuum!! mais j’en veuuuuuuuuux! biises micky
ça, les shortbreads, c’est quelque chose…..
Trop mortel pour mon régime …
Depuis le temps que j’ai la recette de côté, tu vas me faire craquer !
Une horreur tellement c’est bon !!
Bises
C’est trop dur de regarder ca … bouhhhhh
Là je crois que tu fais fort, mais tellement tentant qu’il est impossible de résister. Bises
C’est certain que là il est indispensable de cacher la balance!!
j’allais dire la même chose que vicoquette lol
Ah la vache … C’est en effet LA Gourmandise ( avec un G majuscule là, ça s’impose ! Lol ) par excellence ! Mon royaume pour un carré là tout de suite ! Allez Gredine, sois sympa !
C’est sûr qu’après les menus lights, là, c’est monstrueux de nous montrer une telle tentation… Pour le moment, je ne préfère même pas y penser, car je sais d’avance que je vais adorer!!!!