Voilà une tarte qui reviendra sûrement sur ma table. Elle est d’une incroyable légèreté et son petit goût d’agrumes est juste dosé. La recette d’origine utilise de la marmelade d’oranges mais je vous incite à tester le confit de Yuzu. J’ai l’habitude d’en enduire mes tartines du petit déjeuner mais il se prête à plein d’autres usages. En plus, il est facile à trouver depuis que Nature et Découvertes le propose à son catalogue.
| Pour 4 tartelettes : | Pour 8 tartelettes : |
| 1 rouleau de pâte sablée | 2 rouleaux de pâte sablée |
| 250 g de ricotta | 500 g de ricotta |
| 3 œufs | 6 œufs |
| 1,5 c. à soupe de fécule de maïs | 3 c. à soupe de fécule de maïs |
| 75 g de sucre glace + 1 c. à soupe pour la finition | 150 g de sucre glace + 2 c. à soupe pour la finition |
| Jus et zeste d’1/2 orange | Jus et zeste d’une orange |
| 75 g de confit de yuzu (ou marmelade d’orange) | 150 g de confit de yuzu (ou marmelade d’orange) |
Préparation : 30 minutes
Cuisson : 40 minutes
Étaler la pâte sur un plan de travail fariné
Beurrer ou graisser 6 (ou 3) moules à tartelettes.
Découper la pâte en 6 (ou 3) disques et foncer chaque moule avec un disque. Piquer les fonds à la fourchette. Réserver au réfrigérateur pendant la préparation de la garniture.
Faire préchauffer le four à 180°.
Séparer les blancs des jaunes d’œufs. Dans un saladier ou le bol du robot, déposer la ricotta, les jaunes d’œufs, le sucre et fouetter 2 ou 3 minutes. Saupoudrer la fécule de maïs et incorporer. Quand l’appareil est bien crémeux, ajouter le jus et le zeste d’orange.
Battre les blancs en neige ferme avec une pincée de sel et les incorporer délicatement dans la crème aux œufs avec une maryse.
Sortir les fonds de tarte. Étaler une fine couche de marmelade puis couvrir de l’appareil
Mettre au four chaud pour 35 à 40 minutes.
Elles sont gonflées comme des baudruches mais une fois refroidies, elles seront plates.
Servir les tartelettes, tièdes ou froides saupoudrées de sucre glace. Mais le meilleur c’est de les accompagner d’un coulis de fruits rouges maison.
A tomber, je vous dis.