C’est en lisant Mercotte que j’ai commencé à saliver en pensant à un gâteau aux quetsches . Mais faute de temps, j’ai choisi la facilité, et je ne regrette pas : la pâte est absolument délicieuse : légère comme un gâteau de Savoie, les prunes restent juteuses, un régal.
Pas du tout la même texture que celui de Mercotte, mais ce sera l’occasion d’un autre dessert et de remanger des prunes ;o))
- 125 g de farine
- 150 g de sucre
- 3 œufs
- 75 ml d’huile
- 1 sachet de sucre vanillé
Faire préchauffer le four à 180°.
Pour réussir la pâte, le robot est un atout majeur, mais l’huile de coude fera aussi l’affaire.
Dans le bol, fouetter vivement et longtemps les œufs et le sucre : l’appareil va « blanchir » et doubler de volume.
Incorporer la farine tamisée et l’huile. Bien mélanger.
Verser la pâte dans un moule beurré et largement sucré.
Poser les prunes sans trop les enfoncer : la gravité fera le reste.
Saupoudrer de sucre vanillé pour que le dessus du gâteau croustille.
Sympa, j’aime beaucoup l’idée
Ce gâteau doit être délicieux !!
Autre look autre interprétation tu n’as pas mélangé de prunes à l’appareil sympa comme façon de faire en tout cas
10h48, l’heure parfaite pour effectivement saliver devant ton gâteau. Bises