J’ai attendu … attendu … mais elles ne sont jamais venues : mes figues. Je me suis trop vite réjouie : l’année dernière, à peine planté, il m’avait donné une jolie cueillette. Mais cette année, rien , nenni, des clous.
Alors ? je vais devoir patienter jusqu’à l’automne 2009 ??? : IMPOSSIBLE.
Alors, j’ai fais provision de fruits chez le primeur, car je ne pouvais pas attendre de préparer cette tarte.
J’ai d’abord utilisé la pâte de Laurence Salomon qui est une véritable trouvaille. Il me semblait avoir déjà essayé mais le résultat atteint enfin mes attentes : le croustillant, la découpe facile et surtout … pas de beurre. Là, c’est pour faire taire les médisantes ;o))) qui ont trouvé que mes derniers desserts déviaient un peu du light !!!
L’appareil vient d’un vieux Cuisine Actuelle qu’il est temps de recopier avant que les dernières feuilles ne s’envolent.
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1 œuf
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100 g de crème épaisse allégée
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100 g de noisettes en poudre
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20 g de chapelure
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20 cl de sirop de sucre de canne
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le zeste d’une orange non traitée
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600 g de figues
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30 g de pignons de pins
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50 g de gelée de mûres
Faire préchauffer le four à 200 °.
Faire chauffer le sirop de sucre dans une petite casserole à bec.
Dans un cul de poule ou le bol du robot, mélanger l’œuf et la crème. Ajouter le zeste de l’orange. Verser alors le sirop chaud en filet.
Mélanger la poudre de noisettes et la chapelure dans un bol. Ajouter à l’appareil précédant. Fouetter jusqu’à obtenir une pâte lisse.
Étaler la pâte dans un moule anti-adhérant (ou beurré). J’ai utilisé mon moule rectangulaire de 28 X 20 cm et il n’y a eu aucun gramme de pâte en trop.
Verser l’appareil sur la pâte et enfourner pour 20 minutes.
Pendant ce temps, laver, sécher les figues et les couper en 4. Faire torréfier les pignons dans une poêle sèche pour les faire juste dorer.
Sortir la tarte. Disposer les figues sur la crème. Parsemer de pignons. Remettre au four pour 15 minutes.
Faire fondre la gelée de mûres et en badigeonner les figues au pinceau.
Déguster tiède ou froid.
Nous avons adoré la croute, juste assortie a cette garniture. Un régal d’automne.
rrhhhooo figues et pignons c’est tout ce qu’on aime …
Aïe tu me fusilles là ; j’adore les figues. Nous par contre, on est entourés de figuiers ( et de mûriers ), on s’est régalés de figues blanches et violettes ! Mais là … Y’en a plus
Elle est « salivante » ta tarte ! J’ai été trompé par ton titre ! La croustade est pour moi une spécialité aux pommes et feuilles filo du sud ouest, mais nullement déçue par ce que tu nous propose !
HUUUMM
Ta recette donne trop envie.
Yann
Tu as bien fait de ne pas attendre l’automne prochain pour faire cette tarte, hummmm !!!
Le croustillant et le moelleux de la figue!
J’adore tellement les figues qu’elles n’ont jamais le temps de finir dans une tarte et je crois que c’est idiot de ma part quand je vois ça
chez nous aussi les figues sont fainéantes, c’est le manque d’eau cette année. Et pourtant on a plein de figuiers sauvages, mais ce n’est pas une année à figue, ne puni pas ton figuier cette tarte a l’air délicieuse et bien croustillante!
Une vrai bonheur cette croustade!
qu’est ce qu’elle a l’air bonne cette croustade même si les figues viennent du primeur Moi aussi, je mets de la figue partout en ce moment !
c’est très joli, très tentant!
Dommage que je sois au travail , j’ai très envie de tester ta recette et surtout cette pate ! dès lundi je cours à la recherche de figues !!!